Aujourd’hui, je voudrais vous parler d’un sujet qui touche l’ensemble de nous tous : la maladie.

Et d’ailleurs lorsque j’écris : Mal-a-dit pour parler de « maladie » , notre cerveau le plus récent,  le néo cortex, ne pourra qu’en contester l’écriture , ce  qui est vrai d’un point de vue purement linguistique.

Mais d’un point de vue sémantique (symbolique) notre cerveau archaïque, lui, c’est bel et bien ce qu’il entend et ce qu’il intègre car la grammaire, et l’orthographe, il n’en a que faire !

En étant malade, nous serions donc face à un mal, qui nous touche au plus profond de nos cellules, et  qui aurait des choses à nous dire…

Qu’elle soit bénigne, ou maligne, la maladie n’est pas arrivée à notre porte par hasard

Et notre corps ne ment jamais, contrairement à notre mental qui est dans le contrôle et la supervision de tout ce que nous entreprenons.

Tous les » décodeurs « en biologie émotionnelle sont unanimes sur ce point : la maladie nous arrive à un moment précis d’une période de sur stress pour nous en décharger.

C’est une solution de survie qui nous est envoyée par le cerveau archaïque « inconscient » pour nous forcer à passer en « réparation « : un processus de survie où rien n’est laissé au hasard.

Bernard TIHON  dans « Le sens des maux » , je cite :

« Et puisque le cerveau est parfait, il ne se trompe jamais,  la maladie en question ne sera pas « choisie » par hasard, elle sera avec une précision de laser, la solution parfaite au sur stress émotionnel vécu par la personne ».

Il est  donc  grand temps de prendre le recul voire la hauteur nécessaire  quant à ce qui nous arrive. Il est donc grand temps de porter un autre regard sur cette maladie  que l’on « attrape « un jour comme ça sans comprendre vraiment ce qu’il nous arrive .

La bonne nouvelle, c’est qu’il est possible, grâce au ressenti de la personne, de retrouver dans le fil de son histoire de vie , l’évènement déclencheur ou mieux programmant, qui l’a amenée à ces symptômes .

L’autre bonne nouvelle, c’est que lors du travail thérapeutique effectué par la personne sur l’Origine émotionnelle du ou des  symptôme(s), et de la résolution du conflit , de grands changements s’opèrent.

Déménagement, changement de travail, séparation (parce que c’était nécessaire), ouverture de conscience, liberté retrouvée car les anciennes croyances ont été balayées, pour en acquérir de nouvelles plus en harmonie avec soi-même.

Chaque organe nous parle, et derrière chaque symptôme, il y a un besoin non satisfait , une histoire de vie laissée en suspens, un ressenti de  manque ou de trop plein émotionnel.