L’âme hors

L’âme hors

et le Pas sage…

En préambule de séances, ma première cible de travail est le décodage de votre prénom. Que ce soient à travers la langue des oiseaux, l’origine du Saint, le symbolisme des lettres, les anagrammes,  et plus récemment les lettres Hébraïques , il est tout à fait possible de mettre en lumière un conflit avec la composante des lettres de votre prénom ainsi  que sa phonétique.

Le langage des oiseaux est un langage très ancien, subtil et aérien , à travers lequel il ne suffit pas d’écouter les mots utilisés par la personne, mais il faut entendre (en-tendre ) donc « tendre ensemble » vers une autre compréhension.

Notre inconscient ne connaissant ni les règles de grammaire ni d’orthographe, il s’agit  de décrypter un langage secret  (se crée) qui se parle, qui s’entend, qui ne s’écrit pas .

Une langue universelle « Uni vers El » , « El étant Dieu en en Hébreu » qui ouvre de nouvelles pistes de notre inconscient.

Le grand maître de cette pratique s’appelle Patrick Burensteinas, scientifique de formation et passionné d’Alchimie,  ces vidéos sur You tube sont un pur délice, à la Raymond Devos !

En cette période de la Toussaint (tous les saints bien sûr), nous célébrons la mort  (l’âme hors) de nos chers disparus et à ce propos, et si nous parlions de Sylvie ?

Sylvie, « Si il vit », et d’ailleurs le S nous le demande « Est-ce qu’il vit ? . On peut se demander : « s’il avait vécu ou survécu, serais- je là aujourd’hui  et aurais-je pu avoir ma place dans la fratrie par exemple? »

Et Sylvie « pourra »  alors rencontrer un problème de place, que ce soit dans sa famille avec ses frères et sœur, ou  au travail et avoir des difficultés à trouver une place, un emploi ou ne faire que des remplacements.

Ceci est un exemple et une interprétation à ne pas prendre pour une généralité bien sûr (surtout si vous vous appelez Sylvie ), il s’agit juste d’illustrer  l’appellation subtile cachée derrière un mot ou un prénom.

Je vous souhaite à tous de passer cette fête de la Toussaint dans la sérénité et en famille et ne jamais perdre de vue que » l’Ame hors » du corps n’est autre qu’un pas sage , et une possible  « met à mort le faux (et ose) ».